Lerésumé de laquatrième étude de l'OMI sur les GESaété publié.Cette étude est la première itération depuis l'adoption de la stratégie initiale de l'OMI sur la réduction des émissions de gazà effet de serre (GES)des navires en 2018, en vertu de laquelle les États membres de l'OMI se sont engagés àréduire les émissions de GES du transport maritime international et à les éliminerprogressivement dès que possible.

L'étudeestime que l'ensemble dutransport maritime a émis 1056 millions detonnes deCO2 en 2018, ce qui représente environ 2,89 % du total des émissions anthropiques mondiales de CO2 pour cette année-là.Selonune nouvelleméthode d'allocation basée sur les voyages, la part du transport maritime international représentait 740 millions detonnes deCO2 en 2018.

Selon une série de scénarios économiques et énergétiques plausibles à long terme, lesémissions dutransport maritimepourraient représenter 90 à 130 % des émissions de 2008 d'ici 2050.

Pour la première fois,l'étude inclut des estimations de l'intensitécarbone, qui s'est améliorée entre 2012 et 2018 pour l'ensemble du transport maritimeinternational, ainsi que pour la plupart des types de navires. L'intensité carbone globale, en tant que moyenne pour l'ensemble du transport maritime international, était entre 21 et 29 % meilleure qu'en 2008.

L'OMI s'est engagée activement dans une approche globale visant à améliorer l'efficacité énergétique des navires et à développer des mesures pour réduire les émissions de GES des navires, ainsi qu'à fournir une coopération technique et desactivités derenforcement des capacités(pouren savoir plus, cliquez ici).

Les points forts delaquatrième étude sur les GESpeuvent être consultés ici.

L'étude complète sera publiée ultérieurement.